Label STEM
Cinq écoles sont les premières à obtenir la certification européenne de certification de vote.
Label vocal reconnu au niveau européen

Offrir une formation vocale de haut niveau international. C’est avec cette ambition que cinq écoles secondaires d’Anvers et du Waasland se sont jointes il y a un an à un projet pilote in2stem de voka – chambre de commerce Anvers-Waasland. Grâce à un parcours d’accompagnement de la chambre et au soutien de 21 grandes entreprises industrielles, les cinq écoles sont récemment devenues les premières en Belgique à obtenir le label eu Voice school. Il s’agit du GO Atheneum et du stedelijk lyceum campus Hardenvoort d’Anvers, de la spectrum school de Deurne, de don bosco de Hoboken et des brother schools hieronymus de stekene.
– Par Pieter Leuridan, Kathleen Rabau
L’objectif principal d’IN2STEM est d’accroître l’afflux de profils techniques de haute qualité dans l’industrie. ce sont les 21 entreprises de notre plate-forme industrielle qui ont pris l’initiative de ce projet », explique luc luwel, directeur délégué de voka – chambre de commerce d’anvers-waasland. l’industrie de la région antwerp-waasland figure parmi les leaders mondiaux de l’entreprise industrielle. Pour conserver cette position, elle doit être en mesure de puiser en permanence dans un vaste réservoir de talents techniques de haut niveau. Mais pour cela, il faut avant tout une formation électorale de haut niveau international. Il n’avait pas cette garantie.
« L’industrie de la région d’Anvers-Waasland fait partie des meilleures au monde en matière d’entrepreneuriat industriel. Pour conserver cette position, elle doit être en mesure de puiser en permanence dans un large réservoir de talents techniques de haut niveau. »
Début 2019, une équipe de la chambre a cherché un programme avec des critères mesurables ou un label qui permettrait aux écoles de se comparer à l’échelle internationale. Le label européen Voice School combine ces deux exigences et s’est avéré être le plus approprié. Luc luwel : « Les écoles sont évaluées sur la base de 21 critères différents qu’elles doivent pouvoir justifier dans leurs dossiers. Cela ne concerne pas seulement le niveau des infrastructures scolaires, mais aussi, par exemple, la coopération avec l’industrie, l’intégration de formes numériques d’apprentissage et de communication, et la professionnalisation des enseignants.
Soutien aux écoles ambitieuses
Quelque 1 500 écoles d’Allemagne, d’Autriche, de Suède, d’Israël et de nombreux autres pays européens ont déjà obtenu ce label. Mais jusqu’à ce projet, il n’y avait pas une seule école belge parmi elles. En juin 2019, cinq conseils scolaires ambitieux d’Anvers et du Waasland étaient prêts à relever le défi. Au cours de l’année écoulée, la chambre les a aidés à rassembler des preuves, à trouver des experts et le soutien de l’industrie et à soumettre le dossier de manière pratique. Au début du projet, il est rapidement apparu que les écoles, comme les entreprises, aiment échanger leurs expériences et apprendre les unes des autres », explique Luc Luwel. cette approche de pair à pair a fait en sorte que, contrairement à d’autres écoles flamandes qui avaient déjà fait une tentative par elles-mêmes mais n’avaient pas obtenu le label, elles ont atteint la ligne d’arrivée. Les mesures Corona ont également permis d’accélérer la réalisation d’un certain nombre de critères concernant la mise en œuvre des « applications informatiques ».
Formation de mise à niveau maintenant
L’objectif est de continuer à améliorer les cours de formation vocale à partir de septembre sur la base des 21 critères européens. Les cinq écoles partagent cette ambition. Ce projet nous aide à regarder notre opération et notre école familières sous un angle différent. Le label vocal met joliment en évidence les points forts et les possibilités de croissance de notre école », déclare tom francken, conseiller technique coordinateur de don bosco (photo 1). Karin heremans (photo 2), directrice de GO ! Athénée royal d’Anvers : l’étiquette vocale est une étape importante du plan de transition de notre école. Il garantit à toutes les personnes concernées que notre école poursuit activement et applique l’éducation vocale d’une manière inspirante et pionnière. Grâce à cette trajectoire, nous savons encore mieux où se trouvent nos points forts et nos points de travail.
« Grâce à cette coopération intensive > notre école veut combler le fossé avec les entreprises en termes de connaissances, de professionnalisation, de méthodes et d’infrastructures. De cette manière, nous pouvons parfaitement préparer nos étudiants aux métiers de la voix de demain. »
Nous entendons le même son dans le tout nouveau Campus Hardenvoort à Anvers (photo 3). Wendy Haepers, enseignante : « En coopérant intensivement avec voka, nous voulons combler le fossé entre l’école aso et les entreprises dans le domaine des connaissances, de la professionnalisation, des méthodes de travail et des infrastructures. Martin Corveleyn (photo 4), conseiller technique à l’école des frères à stekene, l’exprime ainsi : Pour une petite école rurale, le label européen des écoles vocales est une occasion de partager des connaissances, de s’inspirer des écoles vocales de toute l’europe et donc d’enthousiasmer nos élèves pour le monde scientifico-technologique ». l’école spectrum de deurne (photo 5) espère que cela donnera un coup de fouet à l’image de l’enseignement technique. Nous croyons en l’importance et en l’avenir de l’enseignement professionnel, tant pour les programmes destinés au marché du travail que pour les programmes menant à l’enseignement supérieur. Avec ce label de vote, nous espérons attirer davantage d’attention positive à ce sujet. Et nous sommes également plus convaincus que jamais d’investir dans notre infrastructure technique », déclare la directrice christine hannes. Luc luwel souligne que ce projet pilote est le point de départ d’une mise à niveau générale de l’enseignement vocal dans notre région. Au cours de l’année écoulée, nous avons acquis une grande expertise et affiné la méthodologie pour obtenir ce label. En outre, de nombreuses grandes entreprises industrielles sont prêtes à conseiller et à aider les écoles en la matière. Les administrateurs qui se sentent appelés à suivre cette voie peuvent toujours nous contacter.
Le projet IN2STEM peut compter sur un large intérêt de la part du monde des affaires. Les entreprises industrielles suivantes sont déjà impatientes de participer ou d’offrir leur soutien : actemium, aquafin, arlanxeo, atlas copco, basf, bilfinger rob, covestro, engie wkk zandvliet, exxon mobil, ineos, lanxess, maintenance partners, total (oléfines & raffinerie), suez, air liquide, bayer crop science, electrabel doel, umicore et waterlink.